Je rencontre de plus en plus de personnes, en consultation ou ailleurs, qui n’ont plus d’énergie, plus de motivation, plus d’envies. On pourrait vite qualifier cela de dépression comme un couperet qui tombe. Il me semble que la qualification de tels maux (qui sont bien différents d’une personne à l’autre) ne soit pas très utile, au contraire. Car une fois que l’on est qualifié de dépressif que se passe-t-il ? Ben rien, il ne se passe rien, si ce n’est parfois, l’absorption de quelques médicaments useur de reins et de foie.

Pourtant je suis intimement convaincu que chacun garde les clés de son rétablissement. Ultimement personne d’autre ne fera le chemin. J’ai parfois l’impression qu’en mettant l’accent sur les facteurs extérieurs (parfois terribles) qui facilitent l’état de dépression on oublie l’étendue de notre propre pouvoir sur nous-mêmes.

Notre plus grande faiblesse est d’avoir oublié nos forces. A qui a-t-on appris à maitriser ses pensées. Nous en vient 60 000 par jour ce n’est pas rien. Quand nous a-t-on appris à nous en servir correctement, à ne pas se laisser submerger par celles-ci. Jamais, ou pour les plus chanceux très tard. Ce n’est pas étonnant dès lors que nos pensées impactent négativement nos vies si elles échappent à notre contrôle.

C’est dans le but de redonner des leviers de forces sur nos propres existences que je commence une série de vidéos sur le sujet. Si le contenu vous plait, n’hésitez pas à vous abonner, liker la vidéo ou partager votre expérience. Je vous lirai avec joie.