C’est une plante originaire d’Afrique orientale ainsi que du pourtour méditerranéen. Le terme « Vera » signifie vrai en latin, par opposition probable aux autres variétés d’Aloès qui ne l’égalent pas dans ses propriétés. Remède aussi ancien que puissant, l’Aloé Vera a été utilisé par les Egyptiens, la Grèce Antique ou encore par les Chinois. On trouve des traces qui témoignent de son emploi 5000 ans avant notre ère. Mais que pouvaient-ils bien tous lui trouver ? Il se compose de 99% d’eau (cela doit être important donc…). Le dernier % est un véritable cocktail de régénération. Quelques 150 éléments dont de nombreux minéraux (calcium, manganèse, zinc, germanium, magnésium, cuivre , chrome et bien d’autres), plus 12 vitamines, plus des tanins plus encore quelques 18 acides aminés. On comprend déjà un peu mieux le potentiel thérapeutique de cette fabuleuse plante. Ces vertus reconnues sont très larges. La sphère cutanée sera cité en premier lieu tant les résultats étonnant s’accumulent (ce n’est pas un hasard si on la retrouve maintenant très souvent dans les pommades). Les Japonais l’utilisèrent jadis pour traiter les cancers de la peau suite aux pollutions radioactives des deux bombes. Elle protègerait et régénèrerait étonnamment bien la peau. L’Aloé Vera brille aussi de sa réputation pour agir sur la sphère digestive, notamment au niveau du foie et des intestins qu’il nettoie et reconstruit. Il est enfin un remarquable anti oxydant, bien utile lorsque l’on compte les occasions quotidiennes de nous oxyder…